13 avril 2007

Ecrivain Avenir étend ses services et améliore son visuel

Le site associatif www.ecrivain-avenir.com évolue et s’est doté d’une nouvelle mise en page. Des informations sur chacune de ses rubriques sont disponibles à titre gracieux, comme auparavant , d’autres soumises à une modeste cotisation, comme un peu partout sur le Net. Elles se veulent cependant plus objectives. Plus critiques peut-être qu'ailleurs.
Il n'en demeure pas moins qu'elles sont incomplètes dans la mesure où le risque procédural abusif, obligerait l’association à créer un poste financier juridique mieux utilisé ailleurs. Le fait de devenir sociétaire, de demander une consultation situe l’information dans le contexte privé ou de service de consultant rémunéré.
Le partenariat avec le conseil littéraire www.memoirecrite.org sont renforcés et étendus. Par ailleurs, Memoirecrite s’implante sur les pays hispanophones avec www.memoriaescrite.es, en Espagne et www.memoriaescrita.com.mx au Mexique et en Amérique latine.
Bientôt, Ecrivain Avenir proposera aux écrivains férus de littérature policière un service complet allant du conseil à l’édition.

L'assistance, les services et de l'utilité d'une cotisation

Nous savons par l'expérience des uns et des autres, que le Net est pollué par des faiseurs d'illusion et des margoulins de toute sorte. Que l'écrivain putatif n'est qu'un mouton que l'on tente de tondre si on le peut, au-delà de l'épiderme. Il suffit d'être naïf. Et les candidats sont légion. Le tout gratuit ne permettra jamais à ceux-ci d’éviter totalement les pièges tendus dans le parcours de l’édition ou de l’autoédition.
Des sites qui font tout ; du conseil d'écriture, de correction, en passant par la confection d'un livre et de sa mise en ligne. Services très souvent aussi chers qu'inutiles. Ou mal rendus.
Des éditeurs en ligne qui ne coûtent rien, sauf la perte des illusions de ceux qui croient en leur efficacité.
Des éditions en ligne sans autre critique que celle des auteurs, ou de ceux qui proposent l'ouvrage à la « vente ». Ces procédés déconsidèrent également l’autoédition, la marginalisent.
Il y a même quelques éditeurs classiques qui invitent les auteurs de manuscrits refusés, à les envoyer à un éditeur en ligne qui fera feu de tout bois. Même vermoulu.
Des associations dont la cotisation avoisine les 40 €, pour des conseils convenus et chichement donnés, sans critique pertinente.
Personne, dans ce système perverti ne trouve son compte.
Écrivain Avenir ne dit pas tout sur son site. Ça viendra. En attendant, il réserve les informations à ses membres, à ceux qui considèrent que tout ne leur est pas dû. Qui ont un abord critique de leur travail.
Pour le prix d'un paquet de lessive.
Juste pour faire face aux frais administratifs. Car n'en déplaise aux « tout m’est dû », ils existent.