25 avril 2006

Ecrire soit, mais faire preuve de réalisme

Un papier fort intéressant et pertinent sur Buzz Littéraire : Intellos-précaires : victimes consentantes ?
Extrait : "Non, tous les patrons ne sont pas des ogres avides de nous exploiter et de s'enrichir sur notre dos (sont-ils vraiment si riches ? Ont-ils réellement de la marge de manoeuvre eux-mêmes ?)... La raison est on ne peut plus simple : elle réside dans cette bonne vieille loi du marché qui met en jeu deux paramètres que sont l'offre et la demande. Les données du problème deviennent plus claires à présent ? Ou faut-il garder nos oeillères ? Il y a beaucoup de prétendants désireux de vivre de leur passion : peinture, écriture d'un roman, de reportages, recherche ou beaux-arts... Mais y'a t'il en face une demande, une "clientèle" (lecteurs, spectateurs...) suffisamment nombreuse, dynamique et riche pour assurer l'équilibre économique ? La réponse est malheureusement non. Pour preuve, le nombre de publications qui emploient des rédacteurs bénévoles faute de lecteurs, de petites maisons d'édition qui ferment leurs portes ou qui tirent le diable par 4 pattes, de la pléthore de réalisateurs qui s'auto-produisent et font leurs courts-métrages dans leur coin, de peintres qui ne vendent pas leurs toiles... La liste pourrait être encore longue." Cliquez ici pour lire l'intégralité du papier.
Une occasion de découvrir ce site : Buzz buzz littéraire "La bulle de la littérature nouvelle génération et de ceux qui la font" qui oscille entre "nouvelle scène littéraire", "littérature trentenaires" et "auteurs wanna-be". A découvrir pour être dans le buzz !